Une vingtaine de villes et agglomérations en France ont déjà ouvert des données de stationnement en open data, souvent en format csv, geojson ou shapefile, sans suivre de standard ou de norme, puisqu’il n’existait pas vraiment de standard ou de norme facilement utilisable. Il en résulte un corps très hétérogène de données, qui ne présentent pas toutes les mêmes informations et sont donc très peu, voire pas réutilisées. Bref, le pire des scénarii : les producteurs de données ont passé de nombreuses heures à préparer et libérer des données sur la localisation et la description de leurs infrastructures de stationnement, mais ces informations précieuses pour les usagers n’ont été que rarement exposées dans les applications grand public, alors que les réutilisateurs (calculateurs d’itinéraires, solutions GPS, autres éditeurs d’applications) sont demandeuses !