Les régions présentes (Bretagne, Pays de la Loire, Normandie), bien placées pour animer les politiques open data au niveau territorial, et compétentes en matière de transports interurbains et de transports scolaires depuis la loi NOTRe (2016), se disent a priori favorables à la démarche, mais expliquent en séance les questions qu’elles se posent, en particulier sur la licence de la donnée et la répercussion éventuelle des coûts de production et de mise à disposition.